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 Jey Davids | Echoes.

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Echoes
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Nombre de messages : 2

Jey Davids  |  Echoes. Empty
MessageSujet: Jey Davids | Echoes.   Jey Davids  |  Echoes. EmptyDim 7 Avr - 15:10



Mon héros



    Jey Davids  |  Echoes. Harryl10



    Jey Davids



    alias Echoes

    Je cherche, réclame une distraction quand mes sens ne demandent qu'à flairer le printemps. Le trouver et se languir dans le ventre d'un chaos malsain parce que trop pur, trop sain.
    Je beugle à mes sens de fermer leurs gueules et m'imagine rêver de mordre la chair d'une autre, n'importe laquelle. Une autre moins fringante que le printemps, plus éphémère. Un papillon d'automne qu'on goûte avant d'oublier la teneur de son être.
    Je veux oublier qu'on est au printemps. Oublier que je suis au printemps, en plein dedans... à m'en péter les dents et le reste.

    Et puis là, juste en face de moi, je trouve. Trouve une espèce de fée minuscule, qui bondit quand elle ne devrait que marcher. La poupée n'appartient pas à cette endroit, en est étrangère. Elle agace ma curiosité qui s'en mêle, s'en approche et chancelle. Elle transpire le bonheur et les sentiments à la pelle.

    « Jey, enchanté. » Parfois les mots sortent sans même qu'on y songe. On les éructe sagement et regrette de ne pas les avoir mâcher. J'aurais du les bouffer. Elle empeste tant le bonheur que mes entrailles en crèvent. Et la poupée tourne ses yeux vers moi, ses yeux qui puent le bonheur à plein nez. « Pour un peu, on y croirait. » Merde, est-ce autorisé, ce genre de conneries ? A-t-elle seulement le droit d'empester le sarcasme tout en chlinguant le bonheur à plein nez ? Chienne.

    Mais toute chienne qu'elle soit, elle est distrayante, on ne peut lui retirer ça. Fais-moi oublier le chaos chien qui règne dans ma tête. « J'ai besoin d'inspiration, jolie poupée. Fais-moi oublier le printemps. » et je la vois scruter mon visage quand mes mots se fracassent contre sa frêle silhouette. Elle fouille mes yeux, faisant défiler les interrogations dans les siens. Elle fouille mes yeux putain, et son regard me dit qu'elle trouve ce qu'elle y cherche. « Et le printemps a un nom ? » La chienne devient garce et j'agace ma canine de ma langue lorsqu'elle ne demande qu'à déchiqueter sa jugulaire. « T'es sur un pente glissante, là. A deux doigts de te casser la gueule et d'y perdre tes dents. »

    Elle rit. Elle rit et se fout de moi, se fout de tout et je l'emmerde. Je l'emmerde mais la préviens, parce que la nouveauté de sa présence lui offre le droit de feindre l'innocence « J'ai le droit et le devoir d'aboyer sur toutes les grandes gueules que je croiserai, tu sais ? Ordre du chef. D'ailleurs, sur la liste des grandes gueules on il parlait, je suis presque certaine que tu te trouves au sommet.»

    Je ne la comprends qu'à moitié et tempère mes nerfs qu'elles n'agacent pas tout à fait. Y'a un truc... Un truc que je sens monter et tordre mes tripes d'un impatiente mauvaise, promettant des merveilles. Ma curiosité maintient mes crocs en retrait, lorsqu'ils tremblent de la savoir si menu qu'un mot suffirait à la briser. La vérité veut que je ne sais pas encore si je dois la haïr ou l'adorer. « La voilà sourde, en plus de ça. Je ne gueule pas. » Rarement, en tout cas. J'aboie et on obéit, parce qu'on connaît les rixes qui sommeillent sous mes phalanges, tout leurs échos passés. Je grogne mes ordres mais ne les gueule jamais, n'ayant plus gravé dans mes cordes vocales que l'écho d'un hurlement plus grand que moi, maître parce qu'Alpha suprême. « Gueuler n'est pas nécessaire. La confiance assassine fait tout le boulot à ta place, parfois. Alors je préfère prévenir : j'aboie. » Putain ! J'aurais presque envie de sourire d'un truc sain, mais elle le fait pour moi. M'arracher mon sourire boiteux pour le faire éclore par ses lèvres sans qu'il ne menace de mordre. La chienne, elle est magicienne. « Aboyer ? Voilà ce qui explique ton regard de cocker émerveillée. » Je crois que je pourrais l'adopter. La faire devenir chiot d'un famille chienne et lui faire promettre de garder mon sourire contre ses lèvres, taillées pour un bonheur qu'elle fait danser contre sa peau. « On appelle ça le bonheur, tu connais ? » Je retiens un rictus et m'entends grogner
    « J'ai déjà du en entendre parler. » d'un ton voulu méchant sans l'être tout à fait.

    Y'a quelque chose, avec son visage. Un truc qui déconne, qui ne va pas. Je cherche et vois qu'elle le sent, le sait. Qu'elle me laisse faire et se tait. « J'te connais... » L'étrangère ne l'est pas en entier, je le sens. Le flaire. « Peut-être. Mais à moitié. » A moitié et mon cerveau s'emballe de lui même, couvre ses épaules de cheveux bruns et gomme son arrogance pour les remplacer par quelques expression plus princières. « Plus brune, c'est ça ? » Mais ce n'est pas une question. Je sais. Plus brune parce que jumelle. Et elle est là, fracassant la gravité pour retrouver sa sœur quand il ne me reste que des ombres à faire cramer de ne pouvoir retrouver le mien.

    J'ai dans le crâne l'écho d'une voix qui aboie sans cesse, bouffant mes pensées pour en faire de mon frère le maitre. Je l'entends se marrer, canines en avant, m'attend à le voir débarquer à tout instant. Mais rien putain, si ce n'est que l'illusion de son rire que je fais résonner contre mes pensées, lorsqu'elles se déchaînent. Dans ma tête il se marre, ravie de voir crever la pourriture qui la condamné aux bas-fonds de l'enfer. Il se marre et l'absence de son ombre me le rappelle. Ne reste que son rire, mes nerfs. Ma mère, rendue malade d'une absence chienne. Ma mère qui gueule des soirs et des journées entières, qui supplie qu'on foute ce monde à feu et à sang dans l'espoir de retrouver son fils dans les cendres de tout ce qu'elle aura brûlé, détruit, fracassé. Elle gueule sans cesse mais ce sont ses murmures les plus sordides, d'un sanglant presque chien, qui sont restés. Ils vrillent mon crâne et titillent mes nerfs qui ne demande qu'à lui obéir, à défaut de pouvoir lui rendre la lumière. Obéir à ma mère qui crache sa folie comme on l'enferme, qu'on arrache à la vie au profit une cave qui nourrit sa folie.
    Mais ses murmures, putain... Ils crament ma poitrine, infectent la moindre de mes pensées. J'en crèverai, j'en suis certain, en tentant de brider la violence viscérale que ses murmures appellent. Je saignerai la traînée. Pourrirai de son sang mes mains pour que ceux qui partage le miens me reviennent. Lui arracherai le cœur, pour avoir déglingué les leurs.

    Tout ce qu'il me reste : un écho de mon frère, un autre de ma mère. Et elle, emmerdant les frontières entre ciel et terre. J'enverrai celles entre la réalité et le rêve en enfer. « Plus pure, plus belle... « Moins chienne. » … Parfaite. » J'en grince les dents d'un plaisir sauvage et déçu, avec ça. « Parfaite, hein ? » Elle me balance ses faiblesses, que je touche du bout des dents. L'inconsciente.

    « Et ce printemps ? » Touché. Je suis grillé et elle le sait, en sourit. Elle en sait trop, la chienne. Mais elle a du chien, la teigne, je lui pardonnerai presque. « Entêtant. » Entêtant d'une envie malsaine, qui me veut la vouloir toute entière. « Trop ? » Et me voit crever de me vouloir la désirer moins férocement. Ma peau, mes tripes et mes nerfs la réclament, lorsque sa nature dégoûte la mienne. Trop pure, trop belle... « Plus encore. » Il faut qu'elle se taise. Maintenant. Le printemps réveille mes pulsions plus mauvaises, à vif de le savoir être juste dans ses défauts, plus bonne que mes qualités les plus saines. Le printemps a tout de supérieur à mon être et me crève tant il... Tant il m'entête.

    J'arque un sourcil, ordonnant d'un geste qu'elle se la ferme. Je parlerai, si elle demandait à nouveau, alors qu'elle se taise. Pas maintenant. Plus tard, peut-être. Sûrement, d'ailleurs, avant même que les saisons ne changent. Je sortirai les crocs et lui grognerai combien combien le printemps dure des mois et des années.
    Le printemps pour ta sœur. Égalité. Elle rit un « Ok, j'arrête. » d'un mouvement de main innocent, accrochant un « pour le moment » au coin de ses lèvres, se fracassant contre ma gueule qui l'ayant prévu, se réjouit de ne pas avoir été déçu.

    « Et donc ? » je demande, d'un mouvement de bras qui englobe le monde, oubliant le printemps pour un temps. Elle craque d'un truc joyeux qu'elle colle contre ses lèvres, chantant presque : « Alarmes obsolètes. » Et j'aboie un truc dément, une connerie jouissive à l'idée d'une effraction ici, au royaume de mon père. « Une intruse ? » Quel suspens…« Plus maintenant. J'appartiens à cet endroit, maintenant. Grâce à Sadie Hope, grâce au chef. » … Fait chier. La légitimité de sa présence m'emmerde, bousille l'affront qu'elle aurait pu être à n'être qu'elle.

    « Le chef ? » Je pense au robot et déchante, refuse l'idée qu'un bouffon de fer se veule chef. « Le chef. », elle répète. Et puis Sadie, l'ordre d'aboyer comme une perdue qui quiconque gueulera autour d'elle. Putain... « Mon père. » La réalisation est barbante d'un déception qui me nargue. Mon père l'a adopté avant moi. Le chef et la docilité presque tangible de sa voix, pulvérisant nos conflits qu'elle déséquilibre lorsque l'absence de provocations nous fait nous accorder sur un même point. La chienne, une nouvelle fois.

    Et puis « Echoes. » je lance pour faire taire son rire qui revient de plus bel. Pour l'entendre reprendre mon baptême, comme en écho. Echoes, echoes La voir faire ses dents sur mon nom, et voir où il la mènera. « Puppy Doll. » Je craque, un peu. La voilà chiot d'un chien par baptême, adopté jusque dans son nom qui la relie toute entière à mon père. Je suis foutu, foutu parce que « Je ne vais pas te lâcher, Puppy. » et rien ne saurait être plus vrai.
    Elle sourit une connerie qui provoque, que j'adore déjà. Parce qu'elle lit dans mes yeux, j'en suis certain, les transperce jusqu'à mon crâne qui lui révèle mes secrets, amoureux de son arrogance. Elle sait tout, putain. « Je sais. » Qu'est-ce que je disais ?

    Et une sonnerie résonne, au loin. M'appelle vers un ailleurs qui me revient en pleine gueule, parce que chantant les couleurs du printemps. Je mime une révérence quand elle rit et que la foule s'abat, manque de nous piétiner, mais n'en fait rien. Et d'un dernier regard, je lui signale que ce monde m'a pour roi, à défaut d'un Alpha. Qu'elle ne m'échappera pas. « Au fait, Jey ! Enchantée. » Et je craque ; mon sourire le fait sans rêver de la déchiqueter, comme dressé. « Je sais. »


    Sa plus grande force : Les mots. Je les parle, les tais, les traite et les maltraite. Les fait, les défait, les défie, les abolis. Je les invente, je les éventre, je les vis, les sais, les salis, les saisis, les connais. Je les fouille, les souille, les saoule, les saigne, les sème ou les assène.
    Je les crois, les broie, les aboie. Je les creuse, je le crève, je les gueule et les crierai bientôt, en écho.

    Son intime faiblesse : Mes cris rendus bancales par l'absence d'un Alpha pour leur montrer la voie et ce maudit printemps qui dure douze mois par an.



Son âge : 17 ans.
Sa citation favorite :
« If you can't bite, don't show your teeth. »

Son visage : Harry Lloyd







    Jey Davids  |  Echoes. 9444880




    Famille et Connaissances


    | JAMES DAVIDS;Hound Dog; ft Christian Bale | Mon père, seul pilier d'une famille que la folie et la rage bouffe un peu plus à chaque jour qui passe. Chien jusqu'au plus profond de ses tripes, il tente de maintenir d'un poigne aussi abjecte que nécessaire une minable parodie de famille dont il ne reste plus que des cris, une absence et des éclats de colère.
    | LONDON HEYES; Green Peace; ft Emilia Clarke | Le printemps et son poison, me nourrissant d'une douleur ignoble parce que traitre de me savoir vouloir la fuir sans parvenir à me défaire d'elle. Chaque fibre de mon corps ne demande qu'à la dévorer quand ma tête hurle que sa nature se veut trop saine pour s'apparenter à la mienne, nous jurant opposés jusque dans nos essences qui à chaque rencontre, se confrontent.
    | MILLY JAMES; Dirty Me; ft Jena Malone | La trainée dont les rêves souillons ont perverti mon frère, le retenant captif de son propre esprit. Vierge de tout soupçon aux yeux de tous, elle se marre de se savoir intouchable sans réaliser qu'il me suffira d'un instant pour fendre son crâne dans l'espoir de rendre à mon frère sa santé. Elle crèvera.
    | JOSEPH CALLUM McRAYNE; Jeez; ft Joe Dempsie |Le petit Jésus ou sa réincarnation, en plus timbré. Secoué d'une folie qui n'a rien en commun avec celle qui habite les miens, il égaye mes journées qui seraient d'un chiant mortel, sans lui.




& moi


Prénom, Âge : Andréa, 21 ans.

Pourquoi avoir choisi ce personnage ? Parce que.
D'autres comptes ici ? Royal Pain, Puppy Doll, Lucky Girl, The Prisoner, Angel Smith, Snake, Sady Blues.
Un petit mot pour conclure ?
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Jey Davids | Echoes.

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